Les autorités d'Engis ont conseillé aux habitants de conserver leurs chats chez eux. Une vague de décès ont été constatés et les analyses confirment qu'un ou plusieurs individus s'en prennent aux animaux dans la région.
Les chats de la région d'Engis sont visiblement en danger. Ces dernières semaines, de nombreux matous ont été retrouvés morts ou dans des états inquiétants. "Il y avait un chat dans notre poulailler. On pensait qu'il dormait", explique un habitant. "J’ai essayé de le faire partir, mais là, j’ai remarqué qu’il avait des convulsions. Il est finalement parti dans une ambulance". Ces dernières semaines, ils seraient entre 15 et 20 chats à avoir subi les actes d'un mystérieux empoisonneur.
Les autorités ont autopsié un des cadavres et ont détecté des traces d'un anti-puces pour chien. L'ingestion de ce produit peut coûter la vie à vos animaux, ce qui semble confirmer l'hypothèse d'un acte volontaire.
Furieuse, cette habitante a tenté de porter plainte, mais sans succès. "On m’a répondu, à la police, qu’on faisait une main courante mais que tant qu’il n’y avait aucune preuve, on ne pouvait pas acter une plainte. Parce que les magistrats n’avaient pas que ça à faire", explique-telle à notre journaliste.
En attendant que la lumière soit faite sur cette affaire, les habitants d'Engis sont invités à la plus grande prudence. Une enquête de voisinage a été ouverte.
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