Une partie de la bande de "shouldersurfers" opérant en Belgique, en France et aux Pays-Bas, a été arrêtée fin novembre à Amsterdam. Ces six personnes faisaient partie d'un groupe d'environ 25 jeunes voleuses à la tire. L'une d'elles doit encore purger neuf ans de prison en Belgique.
Une opération communes des polices belge et française a eu lieu plus tôt cette semaine. Plusieurs habitations ont alors été perquisitionnées et neuf suspects ont été interpellés. Plusieurs voitures et maisons, pour une valeur totale de deux millions d'euros, ont été saisies. Selon le parquet fédéral belge, la bande est soupçonnée d'être une organisation criminelle, de vol, d'escroquerie, de faux en écriture et de blanchiment d'argent. Les neuf personnes opéraient en Belgique, aux Pays-Bas et en France. Plus de 100 faits ont été établis au cours de l'enquête. Ils auraient dérobé de la sorte plus de 500.000 euros rien qu'en Belgique via des vols à la tire ou le "shouldersurfing", qui consiste à repérer le code d'une carte bancaire par dessus l'épaule de la victime, souvent âgée, avant de la lui dérober. Les femmes arrêtées à Amsterdam sont soupçonnées de dix cas de vol. Elles sont en prison dans l'attente de leur procès.
Plus de 500.000 euros dérobés: une partie de la bande de "shouldersurfers" active en Belgique arrêtée à Amsterdam
Agence belga, publié le 22 décembre 2019 à 07h25
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Une partie de la bande de "shouldersurfers" active en Belgique arrêtée à Amsterdam
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Une partie de la bande de "shouldersurfers" active en Belgique arrêtée à Amsterdam
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