Le président du parlement bruxellois Charles Picqué est revenu samedi sur la commémoration du génocide arménien au sein de l'assemblée bruxelloise il y a une semaine pour déplorer en termes à peine voilés, la difficulté qu'il a eue à gérer la situation liée à l'attitude de certains élus qu'il n'a pas cités. Emir Kir, directement visé, s’est montré agacé devant les caméras de RTL-TVi.
La fête de l'Iris à Bruxelles s'est transformée en règlement de compte politique. Le président du parlement bruxellois, le socialiste Charles Picqué, est ouvertement revenu sur les commémorations du génocide arménien. On se souvient que plusieurs élus étaient absents à la minute de silence respectée à la Chambre, dont le député PS bourgmestre de Saint-Josse, Emir Kir. "Un seul mot désigne un drame historique centenaire: le terme génocide", a martelé Charles Picqué ajoutant que "ce n'était pas un plaisir de le rappeler à certains. La réalité historique a ses droits", a-t-il ajouté.
Présent lors du discours, Emir Kir a été interrogé par Loïc Parmentier pour RTL-TVi. Le bourgmestre de Saint-Josse n’a pas souhaité s’étendre sur le sujet, préférant la fuite et botter en touche.
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