Il y a trois semaine les autorités avaient prévu un printemps plus clément en termes de libertés. Mais récemment le vent a tourné. Les chiffres liés à la croissance du coronavirus sur notre sol ne cessent de croitre. Le comité de concertation de ce mercredi, regroupant ls différentes autorités du pays, a annoncé de nouvelles mesures, resserrant par la même occasion la vis. Alors, qu'est-ce qui n'a pas marché ? Les Belges sont-ils en tort ?
Alexander De Croo, le Premier ministre a exprimé son opinion sur la question l'issue de la conférence de presse: "On fera l'analyse après. Mais dans la perspective qu'on a donnée, on a toujours été très clair ; que c'était conditionnel à l'évolution de la pandémie." Alexander De Croo a pointé du doigt que la discussion sur un renforcement des mesures est présente également chez nos voisins européens. Et d'ajouter: "Je ne voudrais honnêtement pas trop culpabiliser les Belges. On avait en Belgique des mesures moins contraignantes, on a pu les respecter pendant une très longue période. Si on voit que la situation se dégrade, il faut intervenir. Si on n'intervenait pas, la situation serait très grave.
Ce qui est plus important que de regarder en arrière, c'est de savoir comment on va s'y prendre. On va le faire de la même manière que pour la période octobre-novembre avec la différence que maintenant il y a des vaccins. Les vaccins, c'est la solution durable."
Vos commentaires