Theo Francken, le secrétaire d’Etat N-VA à l’Asile et la Migration, est l’invité de la rédaction de Bel RTL. Interrogé par Martin Buxant, il réagit après l’échec de l’Union européenne à s’entendre sur la répartition des réfugiés.
La Belgique et l’Europe sont confrontées à une vague sans précédent d’arrivées de candidats réfugiés. Hier soir, il y a eu une réunion européenne à ce sujet. Quel résultat concret ?
Je ne suis pas tout à fait pessimiste sur le point principal de répartition de 120.000 réfugiés dans les pays européens. Il n’y a pas d’accord, il y a une majorité très grande, mais il y a 4, 5 pays d’Europe de l’est qui sont pas d’accord.
Alors qu’est-ce qu’on fait? Est-ce qu’on peut les obliger à accepter des quotas de migrants ?
Oui et je pense aussi que c’est la stratégie de l’Allemagne d’avoir un vote majoritaire. Ça ne se passe pas beaucoup.
C’est du jamais vu ça, en matière migratoire?
Du jamais vu, je ne sais pas. Mais ça ne se passe pas souvent.
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