"Les masques sont devenus un objet de notre quotidien et ils font toujours l’objet de beaucoup d’attention", a déclaré la Première ministre Sophie Wilmès, lors de la conférence de presse qui a suivi le Conseil national de sécurité de ce mercredi 23 septembre. Si le port du masque est très important dans la gestion de l’épidémie, et reste indispensable quand les distances ne peuvent être garanties, "Il faut le reconnaître, il est inutile de l’imposer partout, tout le temps", a indiqué la Première ministre.
Dès le 1er octobre
Dès le 1er octobre, le masque ne sera plus obligatoire à l’extérieur, sauf, évidemment, dans les lieux extrêmement fréquentés où les distances ne peuvent pas être respectées, et ces lieux sont déterminés par les autorités locales. "En tout état de cause, il faudra porter un masque dans les lieux couverts bien déterminés, qu’on a déjà listés plusieurs fois, comme par exemple, les transports en commun, les magasins ou les cinémas, et cela peu importe qu’il y ait du monde ou qu’il n’y en ait pas".
Cohérence dans l'entièreté du territoire
Sophie Wilmès a indiqué demander aux autorités locales d’aller dans le sens de l'avis du Celeval la décision du Conseil national de sécurité sur ce sujet-là, pour essayer d’avoir une cohérence dans l’entièreté du territoire. Le ministre-président bruxellois Rudi Vervoort, via sa porte-parole, a d'ores et déjà annoncé que la Région bruxelloise lèvera l'obligation du port du masque sur tout l'espace public de la capitale, à partir du 1er octobre prochain.
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