Fortes températures et manque cruel d’eau ont pour conséquence des rendements en chute libre dans toutes les cultures. Il y a aussi des surcoûts engendrés par le manque d’aliments pour le bétail. L’herbe disponible dans les prairies n’est pas suffisante.
Les orages qui ont sévit cette nuit ont permis de rafraîchir l'atmosphère. Cependant, les sols sont toujours aussi secs. En effet, la terre est trop sèche pour absorber l'eau.
Fortes températures et manque cruel d'eau font que les rendements des agriculteurs sont en chute libre dans toutes les cultures. Les coûts pour tenter de maintenir une certaine productivité sont très importants. En sus, l'herbe disponible dans les prairies n'est pas suffisante.
Face à cela, qui va devoir payer le prix de la sécheresse ?
"Au niveau des consommateurs, c'est le cas du blé avec le prix du pain, c'est le cas de la pomme de terre avec le prix de la frite. On sait très bien que la part que le produit qui sort de la ferme occupe dans le prix final du consommateur est généralement en-dessous de la moitié et généralement en-dessous de 25% du prix final du consommateur", explique Alain Masure, directeur du service d’études de la Fédération wallonne de l’agriculture.
Avant de certifier: "Ce n'est donc pas parce que le prix du blé ou de la pomme de terre va être un peu plus important que le prix au consommateur va devoir nécessairement augmenter".
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