Une nouvelle attraction a été lancée à l’Eurospace Center : un simulateur d’un nouveau genre, avec exosquelette, casque réalité virtuelle… pour s’immerger à la découverte des différents mondes de notre système solaire. Cette première étape permet de sa balader sur Mars.
Eurospace Center de Transinne propose une toute nouvelle attraction. Il s'agit d'un simulateur qui invite les visiteurs à un voyage, plutôt mouvementé. Direction la planète Mars.
À bord, c'est parti pour une expédition hors du commun. Cette attraction vous propose une course à bord des Space Flight Units, des motos de l’espace qui vous emmènent sur la planète rouge, la prochaine destination de la NASA en 2034. "On a l'impression d'être dans l'espace, de voler dans un vaisseau. C'est génial", confie Jessica.
Un casque virtuel, deux bras articulés et des inclinaisons pour se diriger. Une fois apprivoisé, le véhicule devient très vite amusant à manipuler.
"C'est un engin spatial d'un nouveau genre. Il est entre l'exosquelette et l'aéronef. C'est comme une moto, ça nous permet de vivre un voyage vers Mars. En fonction de nos mouvements, on bouge dans notre masque de réalité virtuelle", éclaire Catherine Vuidar, responsable communication de l’Eurospace Center de Transinne.
"C'est une belle découverte pleine de sensations"
Accessible aux enfants dès l’âge de 6 ans, ainsi qu’aux personnes à mobilité réduite, la nouvelle attraction permet une véritable immersion sensorielle dans l’espace et l’atmosphère martienne. "On va montrer des astéroïdes et arriver dans l'atmosphère martienne. On va découvrir les canyons sur Mars mais aussi le Mont Olympe, soit le point le plus élevé du système solaire. C'est une belle découverte pleine de sensations fortes", ajoute la responsable communication.
Parmi les autres activités, figure un simulateur permettant de tester la gravité lunaire ou martienne. L’Eurospace center, qui ambitionne de devenir une référence en Europe, va moderniser ses infrastructures dans les mois qui viennent pour un budget total de 12 millions d’euros.
Vos commentaires