Dès le 1er septembre, les services de "cyclopartage" en flotte libre à Bruxelles devront disposer d'une licence officielle pour pouvoir opérer sur le territoire bruxellois, rapporte le Soir, samedi. Jusqu'ici, n'importe quelle entreprise pouvait implanter ses trottinettes ou ses vélos.
La nouvelle licence impose une série de conditions à l'exercice de l'activité. Celles-ci touchent aussi bien aux caractéristiques techniques des engins qu'à la protection de la vie privée des clients ou à la publication des données récoltées. Parmi les conditions: respecter l'interdiction de stationner en une série de lieux déterminés par les autorités bruxelloises.
La liste de ces "No parking zones" a été établie après consultation des communes par le précédent ministre de la Mobilité, Pascal Smet (One.Brussels). Mais elle est "minimaliste", regrette Olivier Maingain (Défi), bourgmestre de Woluwe-Saint-Lambert. Il n'est donc pas certain que les remous s'apaisent entièrement, écrit le Soir.
Les trottinettes mal garées sont accusées de perturber le cheminement des piétons et des personnes à mobilité réduite ou de représenter un danger de chute.
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