C'est pour rendre service aux parents afin qu'ils puissent situer le niveau de leur enfant, justifie l'Institut Marie immaculée Montjoie.
Ecriture, mathématique, psychomotricité, capacités auditives: tout y passe dans cet examen. Ou plutôt, cet exercice, précise le directeur. Si l'enfant réussit, il entre en première primaire. En cas d'échec, deux possibilités. Soit l'élève est invité à se remettre à niveau durant l'été. Soit, en cas de résultats trop faibles, il est prié d'aller voir ailleurs. "Jamais je n'ai laissé un enfant sans école à la rue", justifie le directeur de l'école dans La Dernière Heure.
Selon la ministre de l'Education, Marie-Martine Schyns, de telles pratiques sont à priori interdites. Il y a trois raisons pour lesquelles une inscription peut être refusée: l'âge de l'enfant, le manque de place, ou le refus des parents d'adhérer au projet pédagogique.
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