La chambre du conseil de Verviers avait prononcé un non-lieu en 2017. Finalement, l'avocate de la famille de l'homme abattu a décidé d'attaquer l'État belge, et a obtenu gain de cause.
Pour rappel, Cemil Kaya a été abattu en 2015 par un policier, parce qu'il tenait un couteau dans sa main. Le Verviétois était psychologiquement instable, et sa famille avait signalé sa disparition.
Le dossier semblait être clos, mais ultime rebondissement : un dédommagement financier sera versé à la famille de Kaya. Le montant s'élève à 47.250 euros et sera payé par l'État belge pour mettre fin aux poursuites.
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