Quelques 400 réfugiés ne seront pas accueillis dans un camping de Bertrix (province de Luxembourg), contrairement à ce qui avait été annoncé par le bourgmestre, Michel Hardy jeudi soir en conseil communal.
La direction de l'"Ardennen Camping", pressenti pour l'accueil, a en effet remis une réponse négative jeudi. Un quiproquo est à l'origine de l'annonce. "J'ai aussi été mis au courant ce matin que la direction du camping avait dit non. Il y a eu un problème de communication au niveau du cabinet de Theo Francken et de Fedasil", explique le bourgmestre de Bertrix.
Prévenu mercredi par le cabinet du secrétaire d'Etat à l'Asile que sa commune accueillerait 400 réfugiés dans un camping de début novembre à fin février (dans des bungalows ou des modules), le bourgmestre de Bertrix s'était lui-même renseigné ensuite auprès de Fedasil. On lui avait assuré que la décision était entérinée et il avait dès lors fait l'annonce en conseil communal.
Le camping est fermé en hiver
Le bourgmestre avait néanmoins marqué des réserves en soulignant que Bertrix accueillait déjà 350 étrangers et que le centre pour réfugiés de Herbeumont, commune voisine, hébergeait 500 personnes. "Dès les premiers contacts, j'avais aussi rappelé que les campings de Bertrix sont fermés pour l'hiver. Nous avons de la neige et les personnes ne pourraient pas être accueillies dans de bonnes conditions", précise encore M. Hardy.
Une communication globale sur l'accueil des réfugiés doit normalement être faite à l'issue d'un conseil des ministres au niveau fédéral vendredi.
La direction de l'"Ardennen Camping", pressenti pour l'accueil, a en effet remis une réponse négative jeudi. Un quiproquo est à l'origine de l'annonce. "J'ai aussi été mis au courant ce matin que la direction du camping avait dit non. Il y a eu un problème de communication au niveau du cabinet de Theo Francken et de Fedasil", explique le bourgmestre de Bertrix.
Prévenu mercredi par le cabinet du secrétaire d'Etat à l'Asile que sa commune accueillerait 400 réfugiés dans un camping de début novembre à fin février (dans des bungalows ou des modules), le bourgmestre de Bertrix s'était lui-même renseigné ensuite auprès de Fedasil. On lui avait assuré que la décision était entérinée et il avait dès lors fait l'annonce en conseil communal.
Le camping est fermé en hiver
Le bourgmestre avait néanmoins marqué des réserves en soulignant que Bertrix accueillait déjà 350 étrangers et que le centre pour réfugiés de Herbeumont, commune voisine, hébergeait 500 personnes. "Dès les premiers contacts, j'avais aussi rappelé que les campings de Bertrix sont fermés pour l'hiver. Nous avons de la neige et les personnes ne pourraient pas être accueillies dans de bonnes conditions", précise encore M. Hardy.
Une communication globale sur l'accueil des réfugiés doit normalement être faite à l'issue d'un conseil des ministres au niveau fédéral vendredi.
La direction de l'"Ardennen Camping", pressenti pour l'accueil, a en effet remis une réponse négative jeudi. Un quiproquo est à l'origine de l'annonce. "J'ai aussi été mis au courant ce matin que la direction du camping avait dit non. Il y a eu un problème de communication au niveau du cabinet de Theo Francken et de Fedasil", explique le bourgmestre de Bertrix.
Prévenu mercredi par le cabinet du secrétaire d'Etat à l'Asile que sa commune accueillerait 400 réfugiés dans un camping de début novembre à fin février (dans des bungalows ou des modules), le bourgmestre de Bertrix s'était lui-même renseigné ensuite auprès de Fedasil. On lui avait assuré que la décision était entérinée et il avait dès lors fait l'annonce en conseil communal.
Le camping est fermé en hiver
Le bourgmestre avait néanmoins marqué des réserves en soulignant que Bertrix accueillait déjà 350 étrangers et que le centre pour réfugiés de Herbeumont, commune voisine, hébergeait 500 personnes. "Dès les premiers contacts, j'avais aussi rappelé que les campings de Bertrix sont fermés pour l'hiver. Nous avons de la neige et les personnes ne pourraient pas être accueillies dans de bonnes conditions", précise encore M. Hardy.
Une communication globale sur l'accueil des réfugiés doit normalement être faite à l'issue d'un conseil des ministres au niveau fédéral vendredi.
La direction de l'"Ardennen Camping", pressenti pour l'accueil, a en effet remis une réponse négative jeudi. Un quiproquo est à l'origine de l'annonce. "J'ai aussi été mis au courant ce matin que la direction du camping avait dit non. Il y a eu un problème de communication au niveau du cabinet de Theo Francken et de Fedasil", explique le bourgmestre de Bertrix.
La direction de l'"Ardennen Camping", pressenti pour l'accueil, a en effet remis une réponse négative jeudi. Un quiproquo est à l'origine de l'annonce. "J'ai aussi été mis au courant ce matin que la direction du camping avait dit non. Il y a eu un problème de communication au niveau du cabinet de Theo Francken et de Fedasil", explique le bourgmestre de Bertrix.
La direction de l'"Ardennen Camping", pressenti pour l'accueil, a en effet remis une réponse négative jeudi. Un quiproquo est à l'origine de l'annonce. "J'ai aussi été mis au courant ce matin que la direction du camping avait dit non. Il y a eu un problème de communication au niveau du cabinet de Theo Francken et de Fedasil", explique le bourgmestre de Bertrix.
La direction de l'"Ardennen Camping", pressenti pour l'accueil, a en effet remis une réponse négative jeudi. Un quiproquo est à l'origine de l'annonce. "J'ai aussi été mis au courant ce matin que la direction du camping avait dit non. Il y a eu un problème de communication au niveau du cabinet de Theo Francken et de Fedasil", explique le bourgmestre de Bertrix.
La direction de l'"Ardennen Camping", pressenti pour l'accueil, a en effet remis une réponse négative jeudi. Un quiproquo est à l'origine de l'annonce. "J'ai aussi été mis au courant ce matin que la direction du camping avait dit non. Il y a eu un problème de communication au niveau du cabinet de Theo Francken et de Fedasil", explique le bourgmestre de Bertrix.
Prévenu mercredi par le cabinet du secrétaire d'Etat à l'Asile que sa commune accueillerait 400 réfugiés dans un camping de début novembre à fin février (dans des bungalows ou des modules), le bourgmestre de Bertrix s'était lui-même renseigné ensuite auprès de Fedasil. On lui avait assuré que la décision était entérinée et il avait dès lors fait l'annonce en conseil communal.
Le camping est fermé en hiver
Le bourgmestre avait néanmoins marqué des réserves en soulignant que Bertrix accueillait déjà 350 étrangers et que le centre pour réfugiés de Herbeumont, commune voisine, hébergeait 500 personnes. "Dès les premiers contacts, j'avais aussi rappelé que les campings de Bertrix sont fermés pour l'hiver. Nous avons de la neige et les personnes ne pourraient pas être accueillies dans de bonnes conditions", précise encore M. Hardy.
Une communication globale sur l'accueil des réfugiés doit normalement être faite à l'issue d'un conseil des ministres au niveau fédéral vendredi.
La direction de l'"Ardennen Camping", pressenti pour l'accueil, a en effet remis une réponse négative jeudi. Un quiproquo est à l'origine de l'annonce. "J'ai aussi été mis au courant ce matin que la direction du camping avait dit non. Il y a eu un problème de communication au niveau du cabinet de Theo Francken et de Fedasil", explique le bourgmestre de Bertrix.
Prévenu mercredi par le cabinet du secrétaire d'Etat à l'Asile que sa commune accueillerait 400 réfugiés dans un camping de début novembre à fin février (dans des bungalows ou des modules), le bourgmestre de Bertrix s'était lui-même renseigné ensuite auprès de Fedasil. On lui avait assuré que la décision était entérinée et il avait dès lors fait l'annonce en conseil communal.
Le camping est fermé en hiver
Le bourgmestre avait néanmoins marqué des réserves en soulignant que Bertrix accueillait déjà 350 étrangers et que le centre pour réfugiés de Herbeumont, commune voisine, hébergeait 500 personnes. "Dès les premiers contacts, j'avais aussi rappelé que les campings de Bertrix sont fermés pour l'hiver. Nous avons de la neige et les personnes ne pourraient pas être accueillies dans de bonnes conditions", précise encore M. Hardy.
Une communication globale sur l'accueil des réfugiés doit normalement être faite à l'issue d'un conseil des ministres au niveau fédéral vendredi.
La direction de l'"Ardennen Camping", pressenti pour l'accueil, a en effet remis une réponse négative jeudi. Un quiproquo est à l'origine de l'annonce. "J'ai aussi été mis au courant ce matin que la direction du camping avait dit non. Il y a eu un problème de communication au niveau du cabinet de Theo Francken et de Fedasil", explique le bourgmestre de Bertrix.
Prévenu mercredi par le cabinet du secrétaire d'Etat à l'Asile que sa commune accueillerait 400 réfugiés dans un camping de début novembre à fin février (dans des bungalows ou des modules), le bourgmestre de Bertrix s'était lui-même renseigné ensuite auprès de Fedasil. On lui avait assuré que la décision était entérinée et il avait dès lors fait l'annonce en conseil communal.
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