L’histoire commence il y a plus de 10 ans. Stéphanie est alors étudiante en journalisme. "Je fabriquais déjà des bijoux dans ma chambre de kot. Au départ, il ne s'agissait pas d'un projet professionnel, c'était plutôt expérimental. Ce qui est clair, c'est que j'ai une nature un peu aventurière, j'aime créer, rêver, me dépasser", commence-t-elle. Aujourd’hui, Tiroir de Lou compte un atelier et 8 employés. Il collabore notamment avec des partenaires belges "comme un doreur-fondeur à Anvers" et "prison de Forest qui fabrique le packaging", détaille-t-elle.
"Dans une journée normale, on a entre 8 et 15 commandes pour 1 à 4 bijoux. On vend en Belgique, France, un peu en Suisse. Parfois on découvre qu'une personne a commandé depuis l'Australie ou le Costa-Rica et ça c'est toujours assez magique", se réjouit Stéphanie.
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