Le chanteur a l’art de cultiver le mystère. Michel Polnareff n’est pas de ceux qui se répandent dans les magazines people. C’est dans le plus grand secret qu’il travaille ainsi sur son nouvel opus, dans un studio bruxellois.
Mais il arrive que l’actualité fasse sortir le sortir de sa réserve, voire de ses gonds. Lorsque son véhicule personnel se retrouve pris au piège des taximen bruxellois, très remontés contre les voitures Uber, Polna prend la parole. Il prend son téléphone et nous appelle.
La pression après l’absence
Comment ne pas céder à la tentation de prendre des nouvelles de cet album qui se fait tant attendre ? Michel Polnareff explique qu’il travaille minutieusement depuis un an déjà dans la capitale belge. Il se pourrait même qu’il commence enfin à voir le bout du tunnel.
"Je sais que beaucoup de fans s’impatientent, je les comprends, je suis aussi impatient qu’eux, mais quand on veut faire quelque chose après une longue absence discographique, il fait vraiment peaufiner. Moi je suis un perfectionniste et là, la perfection est vraiment de rigueur", confie le chanteur. Pas de doute, la pression est grande. Mais il arrive « au dernier tournant », selon ses propres mots.
Amélie Schildt
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