Le gouvernement français ne recevra pas les représentants des "gilets jaunes" "en l'état actuel des discussions", a indiqué son porte-parole Benjamin Griveaux mardi, soulignant que certains manifestants "contestent leur légitimité". "Une fois qu'ils seront organisés et qu'il n'y aura plus de contestation, j'ai dit hier que nous étions ouverts au dialogue, et nous le serons", a-t-il ajouté sur Franceinfo, jugeant que "le bon échelon pour commencer, c'est le territoire". Lundi, une "délégation" de huit "communicants officiels" a été créée mais elle ne fait pas l'unanimité au sein du mouvement.
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