Le Premier ministre De Croo a pleinement répondu à la demande de l'OTAN de renforcer la frontière orientale. Cependant d’après la Gazet Van Antwerpen, l'armée belge éprouve des difficultés à faire entrer sa force de réaction rapide à temps en Roumanie. Selon une source recueillie par le quotidien flamand, "la mission prévue ne dispose pas d'assez de véhicules blindés et de lance-roquettes. Cela va être dangereux".
A la demande de l'OTAN, notre pays enverra bientôt trois cents soldats en Roumanie, membre de l'OTAN, l’Alliance atlantique, et voisine de l'Ukraine. Cette mission sera composée notamment de 160 hommes prêts au combat des premier et troisième bataillons de lanciers de Marche-en-Famenne, auxquels s'ajoutent un certain nombre de logisticiens. Cela s'avère être une affaire très difficile, ont expliqué diverses sources bien informées au journal flamand.
Toujours selon la Gazet Van Antwerpen, le cabinet de la Défense ne veut pas répondre officiellement aux critiques émises : "Nous ne communiquons pas les détails pour des raisons opérationnelles et de sécurité évidentes".
Vos commentaires