Les chauffeurs sont une denrée rare chez De Lijn et la société de transports en commun flamand multiplie les démarches afin de pouvoir engager des candidats à ce poste en pénurie, informait il y a quelques semaines l'agence de presse Belga. Plus de 400 chauffeurs ont déjà été embauchés cette année et 570 doivent encore l'être d'ici la fin de l'année, avait fait savoir la société de transport à l'agence de presse. Des mesures spécifiques devaient aussi être prises comme améliorer la flexibilité du travail, augmenter le nombre d'heures de travail possible et même solliciter les pensionnés qui en ont encore sous le capot.
En attendant pour certains usagers, c'est la "galère", comme le témoigne spontanément Patricia, une habitant de Wemmel via le bouton orange Alertez-nous. "Nous, passagers, qui payons nos abonnements annuels à l'avance, sommes fortement impactés car la moitié des bus ne passent plus. Matin et soir nous sommes contraints de rejoindre notre destination à pied. Students et travailleurs arrivent en retard. Je vous parle en tant qu'habitante de Wemmel, commune à facilié. C'est la galère", affirme-t-elle.
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